Bienvenue sur le blog du “Journal des Lunes » ! 🌙 Aujourd’hui, je suis ravie de vous partager la transcription du tout premier épisode de mon podcast. Dans cet épisode, je me dévoile un peu plus en vous racontant mon parcours personnel : de mes premiers pas avec le cycle menstruel, aux défis hormonaux que j’ai rencontrés, jusqu’à ma reconversion en tant que naturopathe spécialisée dans l’accompagnement de la santé féminine. 

Vous découvrirez comment mes expériences m’ont amenée à embrasser la naturopathie et à créer cet espace de partage et d’écoute dédié à toutes les femmes en quête de bien-être

Installez-vous confortablement et laissez-vous guider à travers les mots de cet épisode, où je vous livre avec sincérité et passion les raisons qui m’ont poussée à lancer ce podcast.

Introduction de l’épisode 1 du podcast 

Bonjour à toutes et Bienvenue dans “le Journal des Lunes », le podcast qui revient tous les mois comme tes règles ou pas !

Je suis Amandine Quénel, naturopathe et fondatrice de MANDYNAT (www.mandynat.fr), un espace dédié au bien-être féminin. Aujourd’hui, pour ce premier épisode, je vais vous présenter l’objectif du Podcast et vous parler un peu de moi. 

Présentation de l’objet du podcast “Le journal des Lunes” :

Dans “le Journal des Lunes”, nous allons explorer ensemble les différentes phases de la féminité. Chaque mois, nous aborderons des sujets variés comme le cycle menstruel, la sexualité féminine, la santé, le bien-être, les relations entre femmes et plus encore ! 

L’objectif est de briser des tabous, de vous partager des astuces pratiques et inspirantes et de vous apporter des informations récentes pour vous sentir bien et épanoui. Que vous soyez à la recherche de conseils, de soutien ou simplement des discussions enrichissantes, ce podcast est fait pour vous !

Mon parcours personnel et pourquoi la naturopathie :

Pour celles qui ne me connaissent pas encore, je suis Amandine Quénel, naturopathe passionnée par la santé et le bien-être des femmes. Mon parcours m’a amené à créer MANDYNAT, un espace où je propose des consultations en naturopathie, des ateliers et des ressources pour aider les femmes à mieux comprendre et prendre soin de leur corps. Sur le site www.mandynat.fr, vous trouverez une multitude d’infos, de conseils pour vous accompagner dans votre quotidien. J’ai toujours été fascinée par les cycles naturels du corps féminin et je suis convaincue que mieux les comprendre et les respecter est la clé d’une vie épanouie et équilibrée. 

Pour vous parler un petit peu de mon parcours, de pourquoi j’en suis venu à me former à la Naturopathie, pour comprendre pourquoi je me suis spécialisée dans la naturopathie de la femme, il faut remonter dans le temps :                                       

Il faut remonter dans le temps à un moment de ma vie où je sortais de mes études de droit et je travaillais dans un cabinet d’administrateurs judiciaires en tant qu’assistante administrative et juridique. J’avais donc un emploi salarié en CDI et vous allez dire “en quoi ça a un rapport avec la naturopathie ? “ (je vous dit tout plus loin ! )

Mes aventures avec la pilule contraceptive

A cette époque, je prenais la pilule depuis l’âge de 15 ans. Avant de prendre la pilule, j’avais des cycles assez réguliers. Une fois par mois, j’avais un petit peu d’acné, mais rien de plus que toutes adolescentes. Franchement, certaines de mes camarades en avaient beaucoup plus que moi. Moi c’était assez cyclique, sans vraiment que ce soit excessif. Et puis de toute façon, j’ai pris rapidement la pilule parce que je suis rentrée dans ma vie sexuelle et je souhaitais me protéger d’une grossesse indésirée. 

Quand on a 15 ans, la seule chose qu’on nous propose au planning familial où je suis allée, c’était la mini-pilule. Donc j’ai eu ma première pilule à cet âge-là et après j’en ai eu 7 autres différentes parce que je ne faisais que  galérer avec la prise de ma pilule, et que je souffrais de nombreux effets indésirables : elle me faisait grossir, me donnait de l’acné, des maux de tête, supprimait ma libido, me donnait des nausées, etc. Vraiment, je ne les tolérais pas bien, et je les oubliais régulièrement. 

La dernière que j’ai eue, n’était pas une pilule mais un traitement contre l’acné qui s’appelle Diane 35, qui bloque l’ovulation et a donc le même effet qu’une pilule contraceptive. Je l’ai pris à peu près 2 ans. Pendant un an et demi, ça s’est bien passé. Et puis passé 2 ans, l’acné est réapparue. 

Mon acné et moi

Pour vous expliquer, moi l’acné, j’ai commencé à en avoir vraiment sérieusement quand j’avais 23 ans. A cette époque-là, j’avais fait une grosse dépression ou burn out en milieu de mon premier Master 1 de droit. A partir de ce moment, j’ai eu de plus en plus d’acné et c’était plus du tout que cyclique. Ça m’a beaucoup, beaucoup complexé et j’ai cherché à tout prix des solutions pour l’enrayer. 

J’ai commencé à consulter des dermatologues, qui m’ont prescrit plusieurs traitements antibiotiques qui n’ont pas fait d’effet. J’ai pris du zinc qui n’a pas fait d’effet non plus, j’ai essayé tout un tas de crèmes en parapharmacie, j’ai essayé des crèmes sur ordonnance qui m’ont beaucoup abîmé la peau. C’était vraiment très compliqué pour moi et quand j’ai entendu parler de Diane 35, je me suis dit : “OK Go, j’en peux plus, faut impérativement que je n’ai plus d’acné”. 

Comme je vous le disais pendant un an et demi, ça a très bien convenu, j’avais pratiquement plus d’acné, j’étais ravie, honnêtement. Je vivais ma meilleure vie parce que ça faisait plus de 2 ans que je me coltinais beaucoup d’acné et que j’étais un peu “au bout de ma vie”. 

Mon chemin vers plus de naturel

Arrivée fin 2016, je me suis beaucoup renseignée sur le corps humain, sur son fonctionnement, sur l’impact de l’alimentation justement, sur l’acné, sur la qualité de la peau. Donc j’ai commencé à beaucoup revoir mon alimentation toute seule, me tourner beaucoup plus vers du bio. Je commençais aussi à me tourner un peu vers du bio pour les produits pour le visage. Bon, je me maquillais encore beaucoup mais, je voyais que je faisais une transition et que la pilule était vraiment contraire à tout ce en quoi je commençais à croire, à mes valeurs (le fait que ce soit vraiment faire délétère sur le long terme). 

Mon expérience avec le DIU au cuivre

Cela faisait 11 ans que je prenais de la pilule, j’ai souhaité l’arrêter et j’ai choisi de me faire poser un DIU au cuivre;  pose qui d’ailleurs s’est très très très mal passée : j’ai eu très mal, la gynéco qui me l’a posé n’a vraiment pas été douce du tout, elle ne m’a rien expliqué, elle avait même pas compris que je venais pour ça; alors que la séance précédente je lui avais dit que c’était mon souhait. Par conséquent, je n’ai pas eu le temps (et l’information) qu’il fallait, de prendre un anti-douleur au moins 2h avant la pose. J’ai eu très mal et j’ai beaucoup saigné. J’ai fait un malaise vagal sur le chemin pour rentrer à mon travail, parce que j’ai fait ça entre 12h00 et 2, un jour de boulot : très très mauvaise idée. (Ne faites jamais ça le jour où vous devez travailler!) Du coup, j’ai failli faire un malaise l’après-midi. 

J’étais vraiment super mal et malheureusement, je ne l’ai jamais vraiment toléré : pendant plus de 3 mois, j’ai eu des douleurs hyper invalidantes pendant mes règles, pendant les rapports sexuels, c’était très très compliqué. Comme j’avais vraiment, vraiment très peur de tomber enceinte, pour moi, c’était la seule solution la plus naturelle possible et il fallait que je m’y tienne. Je me suis donc entêtée pendant 3 ans à garder mon DIU. 

Mon diagnostic du SOPK

Au bout de 3 mois de pose du DIU, mon cycle n’était pas revenu et c’était la première fois depuis des années que j’étais censée avoir un cycle naturel. Mes règles ne sont pas revenues et je me suis inquiétée, donc j’ai fait des tests de grossesse et pour voir si j’étais pas enceinte. C’était pas du tout ça. J’ai pris rendez-vous chez un nouveau gynéco qui m’a fait une échographie sur place parce qu’il était équipé et qui m’a fait faire un bilan hormonal complet. A l’issue de ces examens, il m’a envoyé une lettre avec les résultats en me disant que j’avais le Syndrome des Ovaires Polykystiques. Il fallait revenir pour en gros ajuster un traitement. Je lui ai dit que je ne voulais pas reprendre la pilule parce que c’était la seule chose qu’il me proposait. Donc un premier temps, il m’a prescrit du DUPHASTON, qui est un médicament qui vient en gros manipuler le cerveau pour lui faire croire qu’il y a eu une première phase du cycle et que on est dans la 2e phase du cycle, donc qu’il y a de la progestérone et qu’il faut désormais déclencher des règles. Je l’ai pris sur plusieurs cycles de 2 semaines pendant 3 mois. Le traitement a très mal fonctionné : le dernier mois j’ai saigné pendant 3 semaines d’affilée. Voilà, c’était vraiment une catastrophe donc je n’ai pas voulu continuer. 

Le gynéco m’a dit : “Écoutez, au pire, c’est pas grave, vous n’avez pas vos règles, c’est arrangeant, comme ça vous n’avez pas à vous em***** avec vos protections, vos machins. Alors revenez me voir si vous voulez prendre la pilule”. “Pour prendre un traitement pour votre acné, allez voir un endocrinologue”. Je suis donc repartie avec ce peu d’informations sur le SOPK, et ses conséquences sur la santé. 

Mon premier contact avec la naturopathie

Toute seule, j’ai fait plusieurs recherches sur Internet afin de découvrir ce que c’était que le syndrome des ovaires polykystiques, en quoi ça consiste ? Est-ce que ça pouvait soigner ? Est-ce que ça pouvait être accompagné naturellement ? A à l’époque, (c’était en 2017), j’ai trouvé beaucoup de littérature anglo-saxonne sur ce sujet, et notamment plusieurs ouvrages écrits par des naturopathes et diététiciennes anglo-saxonnes (Lara Briden, Fiona Mcculloch, Alisa Vitti) qui m’ont permis de mieux comprendre ce qui m’arrivait et de me rendre compte que effectivement, il y avait des pistes à explorer : que mon alimentation, notamment la gestion du stress et des émotions, l’activité physique avaient un gros impact sur le cycle menstruel et donc sur la gestion des symptômes du SOPK. Par conséquent, c’était possible de récupérer mes règles. 

A la suite de ces premières découvertes, j’ai pris rendez-vous avec une première naturopathe sur Lyon qui m’a accompagnée. Elle n’était pas forcément spécialisée dans le SOPK, mais elle m’a accompagnée sur ce qu’elle savait faire : on fait une réforme alimentaire, on a continué de mettre en place des outils de gestion du stress, on a essayé d’ajuster aussi l‘activité physique. En quelques mois même pas, j’ai eu mes premières règles, en appliquant tous ces conseils, notamment en réduisant un maximum les céréales à gluten dans mon alimentation, les produits laitiers et les produits très sucrés. Ces changements m’ont vraiment fait du bien :  mon cycle est revenu de manière assez régulière, c’est-à-dire que je saignais une fois par mois (tous les 32, 35 jours environ). J’étais vraiment très très contente de ce succès là. 

Ma reconversion professionnelle vers la naturopathie

En parallèle de tout ça, revenons à mon premier poste en CDI. Je me suis rapidement rendu compte que je n’avais pas du tout envie d’exercer dans le droit. En fait, je m’étais forcée à compléter mes études jusqu’au bout parce que je ne savais pas quoi faire d’autre. J’avais très peur d’avouer un échec. Enfin pour moi, c’en était un : de faire faire pratiquement 7 années en droit (dont 1 redoublement et 1 césure) et de dire : “Ben en fait, ça ne m’intéresse pas”, c’était vraiment un gros échec pour moi de le reconnaître. J’ai mis longtemps à m’avouer que j’aurais dû m’abstenir et que j’étais faite pour tout autre chose. Le fait d’être accompagnée par plusieurs spécialistes en santé complémentaire, m’a tellement fait de bien que ça a commencé à m’attirer. 

J’ai eu des expériences aussi en associations qui m’ont permis de comprendre qu’en fait, peu importe la formation qu’on a faite, peu importe combien de temps on y a passé, j’avais d’autres compétences, j’avais d’autres savoir-être, j’avais d’autres savoir-faire. Ces savoirs ne venaient pas forcément de ma formation en droit, mais venaient de moi, de ce que j’avais appris en grandissant, et que je pouvais le mettre au service d’un nouveau projet. Donc j’ai commencé à accompagner pour me réorienter et à vouloir fonder une entreprise

Au début, c’était plus dans le conseil avec quelque chose de plutôt juridique, administratif (conseil à destination des entrepreneurs). Très rapidement, j’ai réalisé que tout ce que j’avais appris pour gérer mon SOPK, que ma découverte aussi du féminisme, de la Sororité, et des enjeux de de la société sur les les violences sexuelles et sexistes, leurs impacts sur nous, sur notre corps féminin, sur notre mental, sur ce qu’on transmet à nos enfants ; pouvaient nourrir une espèce de mission de vie où moi-même je guiderais d’autres femmes sur ce cheminement-là

Qu’elles veuillent avoir des enfants ou pas, qu’elles veuillent garder leur contraception ou pas, je pourrais leur redonner des clés pour aller mieux, mieux comprendre comment fonctionne leur corps et mieux comprendre ce qui se passait pour elles (pourquoi elles expérimentent les symptômes qui les embêtent). J’ai par conséquent choisi la naturopathie parce que pour moi c’était l’approche la plus complète pour les accompagner.

Présentation de la naturopathie et des ses grands principes

Pour celles et ceux qui ne connaîtraient pas la naturopathie, c’est une médecine traditionnelle, elle a été reconnue comme tel par l’OMS depuis le début des années 2000. De ce point de vue-là, la naturopathie est assez comparable à l’Ayurveda, qui est une médecine traditionnelle d’origine indienne qui est toujours pratiquée d’ailleurs en Inde, ou à la médecine traditionnelle chinoise, qui est également toujours pratiquée en Chine, à Taïwan et dans d’autres pays où la philosophie orientale est très présente. 

C’est une médecine traditionnelle qui est basée sur la croyance que le corps possède toutes ses capacités pour s’adapter à la vie : c’est à dire s’adapter à la fois à des situations de stress, donc des pressions psychologiques mais aussi des situations d’adaptation physiques (je dois marcher, je dois digérer, je dois éliminer ce que j’ai à éliminer). L’influence qu’on a sur ces circonstances ce sont nos habitudes de vie : comment on mange, comment on respire, comment on fait du sport ou pas, comment on gère notre stress, les produits qu’on se met sur la peau, les produits qu’on utilise pour faire le ménage, les personnes dont on s’entoure, nos hobbies, tout ça a une grosse grosse influence sur comment on fonctionne globalement. 

La naturopathie part du principe que si on ramène de l’équilibre dans ces habitudes-là, le corps va naturellement se rééquilibrer. Alors je vous dis pas qu’on a le remède miracle contre le cancer, on ne fera pas disparaître des maladies chroniques, mais par contre on peut aider à vraiment alléger certains symptômes : on peut remettre du mieux-être, remettre du  naturel et du bon sens dans les habitudes de vie des personnes que l’on accompagne, et surtout redonner de la compréhension sur ce qui se passe pour elles dans leur corps.

Les 3 grands piliers de la naturopathie sont : l’alimentation, la gestion du stress et des émotions et l’activité physique. On a plein d’autres techniques, en tout un naturopathe dispose de 10 grandes techniques naturelles pour vous aider à vous rééquilibrer, ces techniques ne sont pas le sujet de cet épisode (je pourrais en faire sur ce sujet si ça vous intéresse). Quand on fait un bilan en naturopathie, on vient interroger à la fois la vie psycho émotionnelle de la personne et tout ce qui va être les maladies, les accidents, les opérations, les antécédents médicaux. On pose beaucoup de questions sur ces 2 parties-là : on est une des rares disciplines qui s’intéresse autant à la personne et à son cheminement depuis la naissance

On vient également balayer les habitudes de vie actuelles : si la personne dort bien, si elle mange bien, est-ce qu’elle bouge suffisamment, est-ce qu’elle a des rapports sociaux apaisés ? Est-ce que ça se passe bien à son travail ? Quels produits utilise t- elle sur sa peau, dans sa maison. Est-ce qu’elle est pas surexposée aux perturbateurs endocriniens ? Le bilan dure en moyenne 1h30 et à l’issue de celui-ci, je propose une stratégie d’accompagnement qui est toujours sur les 3 piliers principaux que sont l’alimentation, la gestion du stress et des émotions et l’activité physique. 

Mon activité de naturopathe experte du cycle menstruel

Voilà comment j’en suis arrivée à décider de me reconvertir vers la naturopathie et de me spécialiser en naturopathie de la femme. En septembre 2019, je suis rentrée en première année à l’école AESCULAPE (Lyon) qui ne propose que des formations en 3 ans en décalé, à raison d’un week-end de 4 jours, par mois, sur 3 ans. Ce format permet d’étaler les paiements mais aussi de mieux comprendre certaines choses, mieux intégrer certaines connaissances, parce que c’est vraiment lourd et dense : on déconstruit plein de croyances qu’on avait et on apprend beaucoup de choses, donc il faut du temps. 

Moi j’étais partie sur l’idée de me spécialiser dans la naturopathie de la femme en sortant et de faire un mémoire sur le SOPK. On m’a un peu ri au nez au début en disant que j’avais le temps de changer d’avis et que de toute façon normalement, les naturopathes ce sont des généralistes des médecines complémentaires, on ne se spécialise pas. J’ai fini ma formation en juin 2022. J’ai créé mon auto-entreprise en août 2022, et me suis spécialisée directement dans la naturopathie de la femme. Quelques mois plus tard, j’ai rendu mon mémoire sur le SOPK. Je n’étais pas peu fière de ce que j’ai accompli et je suis toujours très fière de moi. Je suis persuadée que ce que je fais peut aider les femmes à se sentir mieux et c’est ma passion. 

Présentation du contenu du podcast “Le journal des Lunes”

C’est ce que je vais vous partager un petit peu dans le podcast en même temps que ce que j’ai appris au fil des années en tant que naturopathe : j’ai eu la chance d’en rencontrer et d’accompagner de nombreuses femmes, chacune avec leur propre histoire et leur défis. “Le journal des Lunes”, c’est un espace de partage et de dialogue où nous pourrons aborder des sujets parfois délicats, mais essentiels à mon sens. Je veux que vous sachiez que vous n’êtes pas seules dans ce voyage. Ensemble nous allons explorer les mystères et les beautés de la féminité et j’espère que chaque épisode vous apportera des clés pour mieux vous comprendre et mieux comprendre votre corps. 

Conclusion de l’épisode 1 du podcast

C’est tout pour aujourd’hui dans ce premier épisode du “Journal des Lunes”. J’espère que cette introduction vous a donné envie de nous suivre chaque mois. N’oubliez pas de vous abonner pour ne rien manquer des prochains épisodes et surtout de partager le podcast autour de vous, vos amis, votre famille et toute personne qui pourrait être intéressée par ces discussions importantes sur la santé et le bien-être féminin. 

Je suis reconnaissante de vous avoir eu avec moi. Restez connectées, prenez soin de vous et souvenez-vous : chaque phase de votre cycle est unique et précieuse. À la prochaine fois sur “Le journal des Lunes”, le podcast qui revient tous les mois comme tes règles ou pas ! Merci de m’avoir écoutée.

Pin It on Pinterest

Share This