Découvrez les bienfaits extraordinaires des plantes adaptogènes pour rééquilibrer vos hormones. Notre article de blog explore comment les plantes adaptogènes peuvent contribuer à atténuer le stress, améliorer l’énergie et favoriser un équilibre hormonal optimal. Plongez dans le monde ces plantes magiques et apprenez comment elles peuvent être des partenaires essentiels pour une santé hormonale et émotionnelle épanouissante.

Reprise du travail, changement de saison, manque de luminosité, stress de la vie quotidienne : les raisons ne manquent pas pour se sentir fatiguée et débordée en cette fin de mois de septembre. La tentation de se « booster » naturellement à grand coup de plantes énergisantes est grande ! Néanmoins, ces plantes excitantes (le café, le cacao, le thé, le maté, le guarana …) peuvent avoir des effets négatifs en accentuant la fatigue à la longue.

C’est pourquoi, je vous recommande de vous tourner vers les plantes adaptogènes, qui auront un effet équilibrant plus doux et plus global pour vous permettre de traverser ces périodes de stress et de fatigue intenses.

Dans un premier temps nous allons revenir sur la définition de ce qu’est une plante adaptogène, pour ensuite en étudier les bienfaits notamment pour les hormones du cycle, leurs limites, énumérer quelques plantes adaptogènes, pour enfin aborder sous quelles formes elles peuvent se prendre.

Qu’est-ce qu’une plante adaptogène ?

Découverte des plantes adaptogènes

Le concept de « plante adaptogène » a été élaboré en 1947 par un scientifique russe, le Docteur N.V. LAZAREV, qui cherchait à définir l’action de plantes comme le ginseng.

Il définit alors les substances adaptogènes comme : « une substance qui augmente les capacités d’adaptation de l’organisme humain de façon non spécifique« .

Le Docteur LAZAREV a élaboré trois critères pour classer une substance comme adaptogène.

Elle doit :

  • causer un minimum de variations dans les fonctions biologiques,
  • augmenter la résistance du corps de manière non spécifique contre divers agresseurs,
  • avoir un effet normalisateur.

Un adaptogène aide donc l’organisme à lutter contre le stress de façon globale, quelle que soit la nature du stress. Il se différencie de substances et de plantes excitantes comme le café, le cacao, le thé, le maté, le guarana qui provoquent un largage intensif de catécholamines (substances psychotropes) dans notre cerveau et le courant sanguin, avec un effet excitant qui se traduit par une fatigue plus importante après.

Les plantes adaptogènes aujourd’hui

Aujourd’hui, l’Agence Européenne de Médecine donne cette définition : « Un adaptogène est défini comme une substance ayant la capacité de normaliser les fonctions du corps et de renforcer l’organisme soumis à un stress ». 

Depuis, de nombreuses études ont détaillé les bénéfices de ces substances, contenues dans certaines plantes médicinales.

Techniquement parlant, toute substance qui aide votre corps à s’adapter au stress pourrait être considérée comme un adaptogène, mais récemment, le terme fait spécifiquement référence à un groupe d’herbes et de champignons, notamment l’Ashwaganda, la Rhodiola et le Ginseng (parmi bien d’autres).

Rappels sur le stress

Une première définition du stress a été proposée en 1936 par le Dr Hans Selye comme étant : « Une réponse non spécifique de l’organisme à toute sollicitation ».

Cette réponse à un stimulus extérieur (sons, images, odeurs, sensations au toucher, échanges verbales voire même projections mentales d’une situation) varie d’une personne à une autre : une situation stressante ne sera pas vécue de la même façon en fonction de l’âge, du sexe, de l’éducation, de la période du mois ou de la journée ou encore de la sensibilité d’une personne.

La réponse physiologique au stress, peut peut être découpée en 3 phases distinctes :

1- La phase d’alarme :

Elle constitue la réaction 1ère face au stresseur, qui entraine la libération d’une première hormone qui est l’adrénaline. Les perceptions, la force musculaire et les réflexes sont temporairement décuplés pour faire face à cette situation qui implique une réaction rapide de type « survie ».

Cette réponse biologique était adaptée quand l’homme devait réagir devant des animaux sauvages ou d’autres menaces naturelles à une époque reculée de l’évolution. Elle permettait d’avoir tous les atouts pour pouvoir préserver la survie, qui réside en 3 réactions types : « fuir », « attaquer » ou « faire le mort » (tétanie).

2- La phase de résistance :

La présence du stresseur perdure dans le temps (ex: votre patron vous a encore réprimandée ou bien vous êtes toujours vexée à la suite de votre dernier échange). L’organisme libère alors une seconde hormone appelée cortisol ou « hormone du stress », qui entraine la hausse dans le sang du taux de cholestérol, d’acides gras (lipides), de sucre (glycémie) et qui diminue l’action du système immunitaire.

Une fois l’événement réglé (situation qui avait déclenché le stress s’interrompt), la réaction de détente s’enclenche et le corps ressent de la fatigue sous l’effet du cortisol.

Après une période de repos, l’organisme retourne à son métabolisme habituel : les hormones du stress retrouvent un taux normal et « tout » rentre dans l’ordre.

Cependant, si la situation stressante dure trop longtemps sans que la personne ne puisse la régler, ou qu’elle se reproduit trop souvent pour les capacités d’adaptation de la personne, ou encore si le système nerveux ne peut plus mettre fin à la phase de résistance, l’organisme entre tôt ou tard dans une troisième phase : la phase d’épuisement.

3- La phase d’épuisement :

Comme la personne est tout le temps en HYPER fonctionnement (système nerveux sursollicité, absence de repos), cela va entrainer des déséquilibres dans ses fonctions physiques et psychologiques.

L’organisme s’épuise, certains organes ou systèmes s’affaiblissent ou se relâchent.

C’est souvent dans cette phase d’épuisement que les personnes sur le point de faire un burn out se trouvent.

Malheureusement, afin de pallier à ce manque d’énergie et d’entrain, les personnes souffrant de stress chronique ont recours à des palliatifs : café, plantes et boissons énergisantes, cigarettes, alcools, drogues, médicaments …ce qui entraine une nouvelle série de déséquilibres, et plus de fatigue !

Mécanismes d’action des plantes adaptogènes

Dans un premier temps, les adaptogènes peuvent activer l’ajustement de différentes réponses physiologiques pour faire face à différentes formes de stress.

Une plante adaptogène permet donc de mieux faire face à un stress. Pour cela, elle agit entre autres sur :

  • la régulation du cortisol, sécrété en (trop) grande quantité en cas de stress chronique ;
  • le système immunitaire, en le renforçant. (Cette action est probablement liée à l’effet sur la baisse du cortisol, ce dernier étant immuno-suppresseur) ;
  • une diminution de la fatigue. Les plantes adaptogènes ont toutes un effet tonique et stimulant. Elles sont énergisantes, dynamisantes, mais agissent sans effet excitant ;
  • une amélioration du bien-être mental et de l’humeur, en diminuant les taix de cortisol qui bloquait l’action de la sérotonine (neurotransmetteur du bien-être).

Les plantes adaptogènes sont des plantes qui agissent comme des régulatrices, des modulatrices des fonctions de l’organisme lui permettant d’augmenter sa capacité de résistance. D’une certaine manière, elles aident l’organisme à ne pas basculer dans la phase d’épuisement.

Elles ont donc vocation à aider l’organisme à maintenir l’homéostasie (équilibre global de notre organisme), d’où leur caractère normalisateur. Elles agissent à l’échelle de l’ensemble de nos systèmes et non pas en ciblant un organe ou une fonction isolée. Elles agissent de façon non spécifique quel que soit l’agent stresseur qui constitue le facteur perturbateur.

Les plantes adaptogènes : pour quelles problématiques ?

En fait, une plante adaptogène peut abaisser ou élever la température corporelle, la tension artérielle, le poids, modérer ou stimuler le système nerveux central ou le système nerveux végétatif en fonction de la nature et de l’intensité du stress, et peut présenter des propriétés plus spécifiques : stimulation immunitaire, désintoxication,…

Les adaptogènes sont des régulateurs généraux des fonctions internes : ils tendent à accroître les capacités homéostatiques propres à notre organisme, en recherche permanente d’équilibre.

Une plante adaptogène permet d’agir notamment sur :

  • le stress chronique ;
  • la fatigue et les troubles du sommeil ;
  • les troubles de l’humeur ;
  • la préparation épreuve sportive ou académique ;
  • le système immunitaire ;
  • les troubles de la digestion (somatisation de l’anxiété) ;
  • les déséquilibres hormonaux (cycle, acné)
  • et l’énergie globale de la personne.

Elle sont particulièrement indiquées lors de périodes de convalescence, de grande fatigue qui dure depuis quelque temps, de troubles nerveux ou anciens. Leur polyvalence et leur absence de toxicité à faible dose permet une large application et d’accompagner de nombreuses problématiques en lien avec le stress.

Plantes adaptogènes et hormones féminines

Les plantes adaptogènes ont une affinité particulière avec les troubles hormonaux en particulier avec les déséquilibres touchant au cycle menstruel.

Les herbes adaptogènes, comme l’Ashwaganda, la Rhodiola, le basilic sacré, la réglisse et l’Eleuthro, peuvent avoir un effet en amont (au sein du système nerveux central) sur la normalisation des hormones reproductives en raison de leur effet sur notre fonction surrénale (glandes situées au-dessus du rein, en charge de la production des hormones de stress notamment) et la régulation du cortisol.

En effet, la surpoduction des hormones du stress sur de longues durées peut entraver la synthèse de nos hormones sexuelles en lien avec le cycle menstruel (ici les oestrogènes et la progestérone) car elles ont toute la même origine (cholestérol) et l’organisme dans un effort d’adaptation intense vient privilégier les hormones nécessaires à sa survie (stress) à défaut de celles nécessaires pour créer la vie (hormones sexuelles).

Lorsque notre fonction surrénalienne et la régulation du cortisol sont optimisées, les hormones reproductives peuvent s’équilibrer d’elles-mêmes.

C’est pourquoi, je conseille souvent de faire des cures de plantes adaptogènes dans le cadre de problématiques en lien avec nos hormones féminines (infertilité, sopk, endométriose, acné hormonale…).

Limites des plantes adaptogènes

Les herbes adaptogènes sont des plantes non toxiques aux effets doux. Cependant, certains facteurs doivent être pris en considération avant de commencer à les consommer.

Limites d’action des plantes adaptogènes

1) Elles peuvent intéragir avec des médicaments. Si vous prenez des médicaments sur ordonnance, parlez-en à votre médecin ou consultez un naturopathe ou un herboriste avant d’ajouter des adaptogènes à votre routine. La plante que vous avez choisi peut intéragir avec les effets de vos traitements médicamenteux ou d’autres compléments.

2) Ils ne sont pas universellement applicables. Ne prenez pas d’adaptogène simplement parce que votre meilleur ami l’a pris : les adaptogènes peuvent réagir différemment d’une personne à l’autre, alors recherchez lequel(s) pourrait(ont) fonctionner le mieux pour votre santé. De plus, consultez votre médecin ou un professionnel de la santé compétent si vous êtes enceinte, si vous allaitez ou si vous êtes immunodéprimée et si vous envisagez de prendre des herbes adaptogènes.

3) Ils sont meilleurs à faibles doses. Il est recommandé d’ingérer des herbes adaptogènes à petites doses chaque jour pendant six à 12 semaines (sauf indication contraire de votre médecin). Prendre des doses plus importantes en une seule séance peut entraîner des effets indésirables, tels que des nausées, des vomissements, des étourdissements ou des maux de tête.

Limites d’usage des plantes adaptogènes

Malheureusement, nous avons tendance à utiliser des plantes et des compléments adaptogènes comme nous utiliserions des médicaments pharmaceutiques. En d’autres termes, nous comptons sur ces herbes pour traiter les symptômes et/ou nous rétablir en bonne santé tout en ignorant d’autres aspects clés tels que le stress chronique, les traumatismes, les mauvaises habitudes de sommeil, une mauvaise alimentation, le surmenage, le surexercice… etc.

Nous ne pouvons pas nous attendre à ce que les adaptogènes réalisent un miracle sans réparer d’autres aspects de notre vie (peut-être même les causes profondes) qui épuisent réellement notre niveau d’énergie.

C’est là que compter sur les adaptogènes peut être nocif. Parce qu’ils sont si efficaces pour soulager la fatigue, améliorer la clarté mentale et augmenter l’endurance et l’endurance, leur utilisation peut masquer les symptômes de problèmes de santé sous-jacents. Cela peut nous amener à supposer que notre santé est bonne et que nous n’avons pas besoin de modifier notre mode de vie actuel.

Les adaptogènes ne doivent pas être utilisés pour compenser de mauvais choix en matière de santé et de mode de vie. Ils fonctionnent mieux lorsqu’ils sont associés à de bonnes pratiques de santé, telles qu’un régime anti-inflammatoire, beaucoup de sommeil, un exercice modéré/correct, l’amour-propre, des traumatismes résolus, du temps pour prendre soin de soi et des relations saines et nourrissantes.

Quelques plantes adaptogènes et leurs applications

Le Ginseng (Panax ginseng L.)

Le ginseng est la plante adaptogène la plus étudiée et la plus utulisée au monde. Le ginseng est une plante vivace mesurant 30 à 50 cm, originaire d’Asie. Elle est cultivée principalement en Corée, en Chine et au Japon. C’est la racine de la plante qui est consommée pour bénéficier de ses bienfaits. Elle est considérée par la médecine traidtionnelle chinoise comme « la plante de la vitalité ». Il contribuerait entre autres à : augmenter les performances physiques, intellectuelles et sexuelles, agirait sur la concentration, participerait à une meilleure récupération en cas de convalescence. Il aide à réduire la fatigue physique et mentale et stimuler le système immunitaire. Il aurait également une action hormone-like (oestrogènes).

L’Éleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus)

L’éleuthérocoque est aussi appelé « ginseng sibérien » ou « ginseng russe »,car il en est le cousin et il a en commun avec lui un fort pouvoir adaptogène. L’éleuthérocoque est également originaire d’Asie. Les actifs responsables de ses vertus sont également concentrés dans les racines. Elle est cultivée en Chine, au Japon, en Corée et en Sibérie. Utilisée comme anti-stress et anti-fatigue, elle permettrait aussi de stimuler l’appétit et les défenses immunitaires, et d’améliorer les performances physiques, intellectuelles et sexuelles. Néanmoins, sa voie d’action est plus « douce » que son cousin, ce qui permettrait de ne pas trop sollicité les réserves de la personne, et ne possède pas d’action hormonale mimétique.

La Rhodiole (Rhodiola rosea)

La rhodiole ou le rhodiola pousse sur les pentes rocheuses de régions glaciales, en Sibérie, au Tibet, en Chine, en Russie, aux États-Unis et au Canada. Elle est à la fois fortifiante, tonifiante et revigorante. C’est là encore sa racine qui nous intéresse. Parmi ses bénéfices, on peut citer :  l’amélioration des performances physiques et intellectuelles, la stimulation des fonctions cognitives en situation de stress et de grande fatigue. La rhodiole aide l’organisme à s’adapter en cas de situation stressante, ce qui en fait la plante chouchou des sportifs et des étudiants.

Je l’apprécie particulièrement durant les périodes de transition de vie (reprise de travail, épreuves physiques et intellectuelles, changements de vie).

L’Ashwagandha (Withania somnifera)

Cette plante adaptogène est utilisée en ayurvéda (médecine traditionnelle indienne) depuis des millénaires, d’où son surnom de « ginseng indien ». Elle pousse principalement en Inde, au Sri Lanka, au Pakistan et au Yémen. C’est toujours dans la racine que se concentrent tous les bénéfices. Elle aide à fortifier et renforcer l’organisme et le système immunitaire, apporte de l’énergie et de la vitalité notamment en cas de fatigue physique ou mentale intense, favorise la relaxation lors d’un stress ou, aide à retrouver un sommeil réparateur. 

Sous quelles formes prendre une plante adaptogène ? 

Choisissez de préférence la plante d’origine seule, 100 % naturelle et de préférence biologique, dans un but de qualité. Par ailleurs, soyez vigilantes à la fraîcheur du produit (date de péremption). 

Bien souvent ces plantes sont associées pour présenter des synergies plus spécialisées, je vous recommande dans un premier temps des formules concentrées sur une plante.

Vous trouverez les présentations classique de la phytothérapie, c’est-à-dire :

  • La plante sèche pour les infusions et décoctions ;
  • Les poudres de plantes en gélules ou en comprimés (attention à vérifier les concentrations pour un meilleur effet) ;
  • Mais aussi, sous différent types d’extraction :  les Teintures-Mères (TM), ou encore les Macérats Glycérinées (MG) pour les bourgeons.

Pour une cure adaptée à vos besoins, faites vous accompagner par un professionnel formé à l’usage de ces plantes (nutritionniste, naturopathe, pharmacien ou encore herboriste).

En résumé les adaptogènes : 

  • sont de supers alliés anti-stress ;

  • sont le plus souvent la racine d’une plante ;

  • peuvent interagir avec d’autres plantes et médicaments ;

  • ne doivent pas être consommés à haute dose et sur de longues périodes (plus de 6 mois) ;

  • ne se substituent pas à un traitement médicamenteux ;

  • ne se substituent pas à ne hyigène de vie équilibrée (alimentation, exerice physique approprié, sommeil…).

En cas de doute, demandez de l’aide à votre médecin ou votre pharmacien.

Pour mettre en place plus facilement ces changements, faites vous accompagner !

J’espère que ces quelques conseils pourront vous aider ! N’hésitez pas à réserver votre appel découverte pour la rentrée : https://calendly.com/mandynat/appel-decouverte

Sources : 

https://www.thezoereport.com/p/hormones-adaptogens-what-doctors-say-about-a-link-between-the-two-30450794 

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6240259/ 

https://www.copmed.fr/fr/content/209-les-plantes-adaptogenes-des-inconnues-aux-grandes-vertus 

https://www.laboratoire-lescuyer.com/blog/nos-conseils-sante/conseils-stress-anxiete/les-plantes-adaptogenes-des-alliees-anti-stress-naturelles 

https://www.greenweez.com/magazine/les-plantes-adaptogenes-32673/ 

https://www.forbes.com/health/body/what-are-adaptogens/ 

https://hormonesbalance.com/articles/adaptogens-what-they-are-and-how-they-can-support-hormone-balance/ 

Amandine Quénel

Amandine Quénel

Naturopathe et conseillère en santé hormonale

Je suis Amandine de MANDYNAT, naturopathe spécialisée dans l’accompagnement des troubles hormonaux féminins, en particulier du SOPK.

Marre de souffrir tous les mois à cause de vos règles (ou de leur absence) ?

Et si je vous disais qu’avoir un cycle menstruel pouvait être une bénédiction ? Apprenons ensemble comment booster sa vitalité tout au long du cycle non pas en luttant contre mais en travaillant avec les énergies du cycle ! Faites de vos hormones, vos alliées grâce à la naturopathie !

Je vous propose des accompagnements complets et personnalisés afin de retrouver un équilibre hormonal et émotionnel de manière naturelle et efficace. Retrouvons ensemble la nature de votre cycle.

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